La valeur de nos produits double dès qu’ils rentrent dans une usine alors que c’est l’éleveur qui crée de la valeur ajoutée.
L’aval ne faisant que rajouter son emballage
C’est l’éleveur qui sert de variable d’ajustement (Lire ici Le Télégramme)
La crise sociale et économique qui arrive nous oblige à revoir notre organisation professionnelle.
L’AOP ne servira plus à rien dans 1 ou 6 mois si on accélère pas le mouvement
Que chaque coopérative et groupement continue à multiplier les cahiers des charges, c’est livrer gratuitement les éleveurs à l’aval.
A vouloir garder chacun son pré carré, il n’y aura plus de pré carré ni d’éleveurs de porcs bretons dans le court terme
Plutôt que de profiter de la situation, les abatteurs ont tout à gagner d’une filière production forte réorganisée et garante d’un avenir
Si la situation commerciale est pourrie, le politique est raciste (Lire Ici Le Paysan Breton) et les anti-viandes imaginatifs ( Le Figaro)
P.R.