Le MPB c’est donner le pouvoir au producteur

Evidemment cela ne peut pas plaire à tout le monde

Dès le premier marché les choses sont claires  et depuis rien n’a changé (Lire Ici Le Télégramme juin 1972)

Déjà les abatteurs étaient dans leur majorité réticents et ça se comprend disposant des meilleures informations sur le commerce

Ce qui est le plus regrettable c’est à l’époque l’absence et l’opposition des grosses coopératives qui prétendent défendre les producteurs.

Aujourd’hui encore le MPB n’est remis en cause que par non pratiquants qui se trompent de cible et ne savent pas faire mieux

Si la production porcine bretonne a aujourd’hui la dimension, la progression, l’efficacité, et la compétitivité que l’on connait c’est que son organisation est bonne.

Nous sommes dans une économie de marché. Il n’y a pas de système parallèle à nous faire valoir

Mais depuis quelques années nos coopératives pour se démarquer ont multipliées des cahiers des charges (Jusqu’à 25 !) et qui ne veulent plus rien dire mais tirent le prix de base vers le bas et explique l’écart de prix avec nos concurrents.

C’est surprenant cette alliance Coops/Abatteurs

Les producteurs ont exigé un front commun des groupements pour le commerce (L’AOP)

Mais avec les mois qui passent l’AOP dans la confidentialité de l’UGPVB (Il y a un loup) s’écarte largement de l’objectif des producteurs.

L’AOP doit gérer la totalité des porcs en direct, le MPB et le bas du bordereau UNIPORC

 

P.R.

 

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