Depuis des années, les coopératives industrielles sont incapables de valoriser la production de leurs adhérents qui n’ont pas eu d’autres choix que de signer des contrats à blanc (à vie ?) avec leurs coopératives. Voir article Le Télégramme du 06/03/2018.
Aujourd’hui, les éleveurs constatent qu’ils sont prisonniers (voir article Le Télégramme du 06/03/2018).
En contradiction avec la promotion de la vente directe. Un scandale.
PR