La une choquante du Télégramme (Voir ici)
Alors que le coronavirus continue de circuler, que plus de 10 millions de français sont au chômage total ou partiel payé par ceux qui travaillent dont les agriculteurs, que l’insécurité progresse, notre gouvernement s’en sert comme moyen pour « 2022 ».
L’ivresse du pouvoir, rester sous les projecteurs, leur promotion reste la priorité de la majorité des élus.
Nos élus professionnels n’échappent pas au miel du pouvoir. Ainsi notre présidente de la FNSEA se verrait bien présider le Copa-Cogeca (lire ici) alors que l’agriculteur français n’a jamais eu autant de pression. (Lire Le Télégramme) (Lire L’Eveil de la Haute Loire)
Sans arriver à l’agressivité de la CGT, la gestion molle du dossier phyto ou du bien être animal a été laissé aux anti viandes. Il faut être politiquement correct.
Le merci et le soutien aux éleveurs n’a duré qu’un mois.
La souveraineté alimentaire n’est pas le premier souci de la GMS ni de Mme Pompili no2 du gouvernement quand notre ministre de l’agriculture est avant dernier. (Voir ICI)
Avec le prix du porc qui dévisse en Allemagne, les éleveurs bretons ne peuvent compter que sur eux mêmes. les groupements prendront-ils conscience de l’enjeu ?
François Pot et Porelia défendent une AOP commune d’autant que les mois à venir ne seront pas la continuité des 15 derniers mois.
P.R.
