Ils ont davantage de pouvoir que nos députés

Comment vont-ils nourrir les français en 2025 ? (voir article) avec la participation d’élus (voir article).

Depuis l’épisode « vaches folles », le démantèlement de l’agriculture française n’a pas de limite.

Du ministre de l’économie qui soutient la viande chimique à Elise Lucet qui banalise le « bio », en passant par les circuits courts qui n’auront pas d’abattoir (voir article), la pénurie de viande est garantie, au bénéfice de qui ?

Que font l’Etat et nos élus ?

Le parcours de l’abattoir public du Faou est exemplaire. Il paie au prix fort cette forme de gouvernance que se généralise.

Décidé en 2010, après de péripéties, l’abattoir neuf obtient un avis favorable du commissaire enquêteur. En novembre 2020 (voir article), la facture à 8 M€ permet à l’abattoir d’être opérationnel en 2023.

En janvier 2022, pour saluer « ce joyeux dénouement », tous les notables sont sur le site (voir article), malgré la facture montée à 10,5 M€.

En juin 2023 (oh surprise !), il manque des fonds (voir article) et les vaches continuent de brouter sur le terrain. Ils croyaient les péripéties terminées !

Un chantier de plus de 13 M€ que nous devrons payer.

Que font nos organisations ?

Nos coopératives continuent la surenchère, à savoir, qui lavera plus blanc que blanc, et d’accélérer les transitions (voir article) aveugles à leur baisse du nombre de producteurs et de la production supérieure à 10 % pour les 22 semaines 2022/2023.

Les producteurs n’arrivent plus à suivre.

Ca fait les affaires des mondialistes.

Les quatre géants de l’agroalimentaire : ABCD (voir article) décideront demain qui aura à manger ou pas.

Ci-après, lien fusion Bunge-Viterra (lien)

« La maison brûle et trop regardent ailleurs ».

P.R.

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