Le maquereau norvégien expédié de Chine (voir ICI le journal Ouest France du 16 janvier 2017) vient concurrence le maquereau frais de nos côtes en cassant les prix. Face aux dérives de la mondialisation, il ne faut pas relâcher la pression pour l’exigence de la traçabilité de nos porcs de qualité. Le risque est à la hauteur des enjeux financiers.
