L’agriculture en réponse aux défis du monde nouveau

« La France, amie de son agriculture, qu’elle  voit encore comme elle l’était dans un passé lointain » (Philippe Dessertine)

L’agriculture en réponse aux défis du monde nouveau (Lire ici Terra)

C’est tout le dilemme. Comment des technocrates qui n’ont jamais vu de porcheries modernes peuvent-ils être compétents pour juger du bien être animal. Généraliser la case mise bas en liberté ou obliger à ajouter des abreuvoirs en plus de la soupe tiennent plus de la philosophie que du bien être des animaux.

Les éleveurs sont toujours prêts à investir. Cela les engagent pour 10 à 20 ans alors que la lisibilité du réglementaire ne dépasse pas 2 ans.

« L’enfer réglementaire dans une France championne de la norme avec neuf fois plus de textes que dans les autres pays européens » (Lire Ici TERRA Philippe Dessertine)

L’optimisme du CRP (Lire Ici TERRA) avec son incitation aux éleveurs à investir ou d’inviter la GMS à partager le cahier des charges resteront des voeux pieux si on continue à imoser à 100% des producteurs les caprices de 2% des citoyens (Lire ici Le Télégramme). L’échec est assuré et la production porcine se fera dans les pays de l’Est comme pour  le poulet et en en Espagne entre les mains des financiers.

Gilles Burel est bien seul sur la photo (Ref Le télégramme) à l’image des éleveurs face à la société.

P.R.

 

 

 

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