Un 35 ème SPACE encore « consacré » au bien être animal finira par décourager l’éleveur le plus passionné (Lire ici).
L’environnement ou le bien être animal ne pourront se faire à « marche forcée ».
Ce n’est pas le dialogue que propose Didier Lucas qui fera avancer le bien être animal mais l’économique, le technique et le social.
Le nombre de listes écologiques aux régionales est la preuve qu’elles servent de couverture à des intérêts financiers.
L’Histoire montre que les éleveurs sont « écolos » par nature et finalité.
Les années 50 : Les vaches jusque là dans des étables à fumier accumulé bénéficient du confort de la paille avec le fumier sur plate forme et une fosse à purin servant de fertilisant (Voir photo).
Les années 60 : Les ingénieurs font la promotion des porcheries « danoises » et « anglaises » dont les liquides coulent au fossé.
Les années 70 : La crise pétrolière aidant on passe aux fosses à lisier.
Les années 80 : Le lisier est recherché pour son engrais de qualité.
Les années 90 : Revirement total d’abord l’odeur des épandages puis les nitrates posent problèmes au bénéfice de l’ammonitrate « azote propre » des Coops .
Les années 2000 : Le traitement de lisier est opérationnel.
Les années 2010 : C’est le bien être animal en marche forcée (Lire ici Le Paysan Breton) . Elles sont heureuses (Voir ici)
Les années 2020 seront celles du bien être de l’éleveur ou ne seront pas. Agriculture familiale ou financière ?
Est ce que parce que les Chambres et la FNSEA pensent que l’avenir c’est Xavier Niel et Cie (Lire ici) que leur dialogue n’est pas simple avec les éleveurs ?.
En 2015, on a connu Didier Lucas plus tranchant.
P.R.