Imaginez les transférant les règles du nouveau cadre PAC dans leur élevage (Lire ici)
Ils ne veulent pas voir les arrêts en cours de carrière d’élevages qui se portent bien économiquement.
Toutes les organisations doivent s’approprier les attentes des JA. C’est l’avenir de nos élevages familiaux qui est en jeu. (Voir ici)
Depuis 1974, 97% des électeurs ne votent pas écologistes mais avec 3% des voix (lire ici VSD) des opportunistes font du profit en les traduisant en attentes sociétales
Quelques directeurs et Présidents s’engouffrent dans la brèche et rêvent d’être leader dans sa branche (Lire Ici Les Marchés) avec des éleveurs intégrés qui doivent signer un engagement exclusif, confidentiel, et vivre sous la peur.
Les réussites sont très rares et dans tous les cas, c’est l’éleveur qui subit et paie cher l’échec (Lire ici Les Marchés) .
Il y a le coût financier (faillite) et des coûts humains toutes les semaines à lire dans les médias (Lire ici et Lire ici)
C’est d’autant plus insupportable que ces éleveurs ont cru à la parole leurs coopératives, leurs chambres d’agriculture, leurs banques, qui elles, ne pensaient qu’à leurs propres intérêts.
Pour espérer se faire pardonner, elles font de l’aide à la trésorerie (Lire ici) et aide soutien éleveur de porcs (Lire ici) sur le prix d’un aliment qu’elles augmentent.
La plupart des Directeurs et Présidents veulent sortir de cette intégration et avoir une base commerciale commune dans l’AOP comme l’avait Uniporc et le MPB à leur création. Il ne faudrait pas que deux ou trois faux opportunistes les tiennent en échec.
Il faut produire ce qui se vend, le défi n’est pas zootechnique mais économique (Lire ici)
La loi EGALIM 2 peut nous aider mais à moins de nous donner le statut de fonctionnaire, elle ne peut répondre qu’à une partie des attentes du rêve d’être payer au prix de revient.
Il est temps que des responsables nationaux arrêtent de nous mentir comme ils l’ont fait sur le « bio », les cahiers des charges et maintenant la loi EGALIM.
Il faut collectivement aller chercher le prix avant de se plaindre.
P.R.