Le maire écolo de Questembert ne voyait que du positif en employant pour des travaux son « cheval territorial ».
Il tombe de sa chaise lorsqu’il est accusé de « maltraitance animale » (voir article).
Ce n’est pas un fait divers lorsque la pétition de soutien au cheval recueille 25 000 signatures (voir article).
- La surenchère sur le bien-être animal touche, ou touchera, 100 % des éleveurs. La remise en cause du comté n’est plus un hasard (voir article). Cette surenchère crée un climat malsain, la peur s’installe et ça devient du n’importe quoi.
- La peur au conseil constitutionnel qui censure la « loi d’orientation ».
- La peur au conseil d’état qui valide la « saucisse végétale » (voir article).
- La peur de notre députée qui retoque la proposition de loi du sénateur Duplomb (voir article).
- La peur des GMS qui craignent de perdre un client.
- La peur chez les abatteurs (voir article) qui mettent la pression sur les transporteurs.
- En bout de chaine, l’éleveur subi la pression de tous. Les médias l’ont d’amblée condamné ; eux aussi ont choisi leur camp, celui de la pensée unique. L’excellent trail « Pig&Run » du CRP ne trouve pas grâce à leurs yeux (voir article).
- La FNSEA est bien molle sur ce dossier, aurait-elle également peur ?
- Cette peur n’est certainement pas la solution. Elle ne peut rien produire de bon mais si nous laissons faire, on donnera notre marché français aux chinois (https://search.app/q7mGL3Yp3RKr2WjY8).
- Les producteurs bios, s’ils conjuguent passion et savoir-faire (voir article), ne sont pas mieux lotis pour leurs revenus. Biolait a perdu 20 % de ses producteurs en un an malgré des aides politiques et des millions d’euros de subventions (voir article).
- Les producteurs de porcs sont respectueux de leurs animaux. L’élevage de Mathis, adhérent à Porélia, va dans ce sens (voir article). La peur doit changer et changera de camp. La pénurie d’œufs aux USA montre la fragilité de la souveraineté alimentaire (voir article).
P.R.