Une pression méticuleuse pour les agriculteurs qui se font verbaliser pour des tas de fumier qu’ils vont épandre dans leurs champs.Dans le même temps des stations de traitement urbain qui laisse à désirer. Crozon a l’honnêteté de le reconnaître ce qui n’est pas le cas de la plupart des villes. (voir ICI l’article du journal le Télégramme)
