Aujourd’hui, plus personne n’a de doute sur les difficultés économiques et sociales que traverse la Bretagne et, à plus grande échelle la France, mis à part « Eau et rivières » qui reste bloquée sur ses idéologies !
Et pourtant, les exemples sont nombreux : Doux, Gad, Tilly sabco… Et ce pour différentes raisons mais une constante qui impacte toutes les productions : la complexité de nos métiers liée à l’interprétation franco-française des textes européens sous la forte influence néfaste d’associations dont « Eau et rivières » qui veulent signer l’arrêt de mort de nos productions !
A son Assemblée Générale, le président du Marché du Porc Breton a relaté, à raison d’ailleurs, les conséquences catastrophiques de la machine arrière enclenchée depuis 20 ans. Et voilà que l’association Eau et rivières sort du bois pour fustiger ses propos (courrier d’Eau et Rivières consultable sur le site internet de PORELIA).
Et pourtant, quand on fait les comptes, on ne peut que constater les dégâts importants qu’ils ont pu causer sur la production et de facto sur les outils industriels avec leurs emplois. Tout se compte un jour alors que nous sommes les éleveurs les plus respectueux de l’environnement au monde !
Cependant, à PORELIA, nous ne sommes pas décidés à baisser notre garde, n’en déplaise aux pseudo-associations, et accordons la plus haute importance à l’évolution du dossier Gad, en particulier à Lampaul Guimiliau. Et ceci pour plusieurs raisons dont une essentielle qui est son implantation au cœur même d’un bassin important de production qui participe fortement à la fixation du prix à Plérin.
Avec les autres groupements de producteurs, nous nous efforçons de trouver une solution qui permette de maintenir un site d’abattage à Lampaul Guimiliau.
François POT