Les coopératives affichent de vouloir grossir pour mieux valoriser le production et c’est l’inverse que subissent les éleveurs. (Lire Ici Le Télégramme)
Nous sommes très organisés mais très mal défendus voire pire.
Pour construire les porcheries de demain le prix de vente est essentiel.
Lorsqu’une coopérative donne des signaux à la baisse aujourd’hui comme en avril 2017 lorsque le prix était à 1,50 Euros, il y a de quoi s’interroger.
A cela on peut ajouter la tiédeur d’autres coopératives à vouloir grossir l’offre au MPB se privant ainsi également de hausses potentielles que la forte chute des poids aurait justifié. Si notre aval croit en l’avenir, ce n’est pas en pressurisant les éleveurs.
Certains pensent que les exploitations et les élevages vont grossir et ça continuera comme avant. Ils se trompent dans l’analyse car on ne fait que déplacer les problèmes.
Les technologies demandent des compétences et le recrutement de personnel motivé est problématique.
La case PRIX pour motiver les éleveurs est incontournable.
P.R.