Dans une longue lettre ouverte (Lire ICI Le Télégramme) Le Président d’Inaporc fait une analyse objective de la situation mais celle ci on la connait depuis 20 ans.
Il affirme également son attachement à un modèle d’exploitation à capitaux familiaux (Lire ICI) que nous partageons.
Cependant il parait moins clair dans les solutions et les mesures à prendre à court et très court terme.
Comme il l’écrit la production porcine ne peut être en conflit permanent avec les autres maillons de la filière mais ne peut davantage supporter seul les handicaps financiers de l’amont ou de l’aval.
Pour cela nous (la production) devons nous réorganiser et faire un choix par ordre de priorité de nos objectifs avec une identification claire des résistants et tout cibler sur ceux ci.
Pour que nos exploitations restant à capitaux familiaux on ne pourra faire l’impasse sur :
- La mise en place d’une TRACABILITE totale (produits frais et transformés)
- La globalisation de l’offre vente des porcs dans une structure unique (Le MPB)
- Définir clairement la qualité pour qu’une qualité consommateur se transforme en qualité producteur et en soit ainsi rémunéré.
P.R.