Ils sont gros bénéficiaires de subventions et les champions de « liberté égalité » et contre une démarche festive des producteurs de porcs (voir ici article le Télégramme). Les agriculteurs et les éleveurs sont leur bête noire, la moindre porcherie est qualifiée « d’industrielle » (voir ici article le Télégramme), ils mettent les conseils municipaux sous pression, ils inventent de la pollution et des pesticides lorsqu’il n’y en a pas (voir ici article), ils mettent l’agroalimentaire sous pression (voir ici article AFP). Cependant, à vouloir multiplier les cahiers des charges, nous prêtons le flanc à leurs attaques avec des méthodes terroristes (voir ici article).
Pour s’en sortir par le haut :
- M. BLOCH, président de l’UGPVB, l’a exprimé au 50ème anniversaire du MPB : « monter un cahier des charges commun à toutes les OP sous la bannière de l’AOP, qu’on soit au MPB ou pas » ;
- Appuyé par F. POT : « Il faut juste une volonté politique » ;
- Complété par P. DURIEZ : « il y aura toujours un indicateur » ;
- Et par P. BIZIEN, président du CRP : « le MPB protège les éleveurs »
La pénurie alimentaire n’est plus une hypothèse au vu des arrêts d’élevage (voir ici article le Télégramme).
Ce ne sont pas les décisions des juges qui inverseraient le cours des choses (voir article) (voir vidéo).
Et pour couronner le tout, notre président, pour son dernier jour de sa présidence européenne, tourne le dos à la souveraineté alimentaire française par un accord de libre échange (voir ici article Marianne).
P.R.