En 20 ans, la France est passée du 2ème au 5ème rang des exportateurs mondiaux. Le rapport du Sénat d’octobre 2022 n’a rien changé (lire l’article « Vie Publique »)
Les 10 millions de tonnes de blé qu’il manque en France en 2024 feront-ils un électrochoc? (voir la vidéo Sam du 30/07/2024)
« Les tendances politiques sont des blocs qui s’affrontent et aucune cohérence ne se dessine » (lire l’article T.Pouch / Réussir)
Peut-on encore se poser les bonnes questions sans être traité d’extrémiste?
La pensée unique serait-elle obligatoire?
Les manifestations du début d’année ont été confisquées, nos coopératives mondialisées n’ayant pas pris le relais.
Que nos coopératives et certains groupements dissocient leur avenir de celui de leurs adhérents explique les pertes de repères des agriculteurs. Il suffit de regarder leurs communications :
Agrial fusionne à tout va (lire l’article Agrial)
Terenna achète (lire article Le Télégramme), reprend (lire article Le Télégramme)
Pour une autre, « l’élevage de demain est la réalité d’aujourd’hui » (lire l’article) et augmente les charges
Inaporc nous informe que Le Monde accuse « les producteurs de porcs d’être largement responsables des algues vertes » (lire Newslettrer Inaporc) mais laisse chaque producteur seul face à la contestation et aux ONG.
Il faut repenser nos organisations qui se sont trop diversifiées et politisées. Qui aurait dit il y a 20 ans « qu’on ne pourrait pas vivre de notre métier sans se faire insulter, verbaliser, stigmatiser » (lire l’article Le Point)
P.R.