La loi du plus fort

Les GMS excellent dans une diversion sans frais en communiquant sur moins de 5 % de la production laitière française ( Lire ici l’article du Parisien). Les 95 % restant n’ont qu’à crever, à force d’être dépecer, les éleveurs laitiers et porcins vont disparaître (Voir ici La France Agricole)

Les éleveurs qui contractualisent sont inconscients pour la suite de leurs engagements desquels ils leur est impossible de bien sortir. (Lire ici Le télégramme) Avec leur contrat rompu par Lactalis ils sont obligés de s’exprimer dans l’anonymat craignant de ne pas trouver de nouvelle laiterie. Déjà en 2016  par crainte de mesure de représailles des éleveurs de la Cooperl avaient aussi utilisé l’an dernier un courrier anonyme pour exprimer leur mécontentent (lire ici).

Les quotas B et C ont surtout permis aux laiteries d’optimiser leurs coûts mais pour les producteurs la conséquence est de tirer les prix vers le bas, quotas A compris. (Lire ici le Télégramme)

P.R.

pari

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