Première viande consommée par les Français avec 32 kg par an et par habitant, elle représente 38% du total de viande (lire l’article – La France Agricole).
Il y a tout lieu d’être optimiste et convaincu d’avoir des prix rémunérateurs mais il faut se battre :
* contre le choix politique :
Bruno Le Maire qui a multiplié le prix de l’énergie, fait pression sur le panier alimentaire en ouvrant les frontières aux importations (lire l’article – La France Agricole)
* contre le culpabilisation des éleveurs :
C’est devenu un jeu pour les anti-élevages à qui on donne toujours gain de cause (lire l’article Le Télégramme) et des éleveurs condamnés à 5000€ pour avoir demandé de supprimer des vidéos (lire l’article – La France Agricole)
Lorsque L214 « exige la fermeture d’urgence » de l’abattoir de Bazas (lire l’article), leur objectif est d’en finir avec l’élevage.
Vont-ils fermer les urgences des hôpitaux? (lire l’article – Le Télégramme) – juste un entrefilet dans le journal. Imaginez les réactions avec une vidéo type L214. Les coupables sont aux abris.
Les éleveurs aiment leurs animaux. Nos cochons sont mieux soignés que les Français.
Depuis 20 ans, ni les fusions de coopératives ni les investissements dans des marques à « forte valeur ajoutée » n’ont stoppé ni inversé ces vents contraires.
Il faut dire la vérité au consommateur.
La réaction ne peut être que collective, politique, globale.
Porter le « manifeste » de Thierry Meyer à INAPORC (lire l’article – La France Agricole) et faire l’unanimité sans attendre sur ce dossier est la priorité des priorités.
PR
