Le mea culpa de D. Chargé, président du syndicat des coops. Est-il sincère ou est-ce un écran de fumée avant le salon ? (voir article) Serait-il en opposition avec le projet « 3ème voie » d’InVivo à laquelle adhère sa coopérative Terrana ?
InVivo :
Peu connue des agriculteurs, c’est la coopérative des coopératives françaises (voir article), mondialisée (voir article), politiquement engagée avec ses deux piliers fondateurs et 5 objectifs (voir article) où l’élevage et la qualité de vie des agriculteurs sont absents.
La force d’InVivo tient dans ses membres qui sont tous des leaders dans multiples organisations. La SCA Avril joue un rôle pivot (voir article).
SCA Avril, la direction :
Son président Arnaud Rousseau, président de la FNSEA, président de FOP.
Sébastien Windsor, président des chambres d’agriculture, vice-président de FOP et d’autres personnalités qualifiées (voir article).
Leur projet est de devenir et d’imposer leur vision de l’agriculture française (voir article).
Où sont les priorités quand « le changement est rapide et profond » ? (voir article)
Seul le prix payé au producteur peut accompagner la performance.
Le préalable est de lever les contraintes soulevées par D. Chargé :
-« La loi d’orientation manque de levier pour la performance (voir article).
-« La montée en gamme, solution miraculeuse pour l’importation » (voir article).
-La 5ème loi Egalim ne changera rien, seule la responsabilité collective des acteurs, des coopératives, peut changer le cours des choses (voir article).
-Les GMS, avec leurs micro-accords, n’apportent pas plus de lisibilité ; on vient de le voir avec le contrat Lidl.
De plus en plus de producteurs de porcs choisissent d’être indépendants, ça doit interpeller les coopératives qui refusent le totalement collectif d’Uniporc/MPF.
Pour ceux qui attendent des subventions de l’Europe en signant des contrats, c’est loin d’être gagné (voir article).
P.R.
