« Faire évoluer les pratiques agricoles en amont afin d’affamer les algues en azote ce qui suppose d’atteindre des concentrations en nitrates extrêmement basses dans les cours d’eau« communique la Préfecture (Lire ICI La France Agricole)
En exterminant les agriculteurs et les éleveurs peut-être que les algues vertes disparaîtront « Les algues vertes concernent moins de 5 % des 2 700 kms de littoral » relativise Thierry Burlot (Lire ICI Le magazine Capital)
La côte bretonne qui mesure 8 640 kms est donc plus sujette à des échouages que la côte littorale rectiligne du Sud Ouest (Voir ICI)
Sylvain Ballu, auto proclamé expert persiste à désigner les coupables « Ces dérivés azotés présents dans l’eau proviennent de l’épandage « intensifs » issu des déjections de porcs et de volailles » (Lire ICI)
Comment peut-il faire l’impasse de l’impact urbain avec les oligos éléments des salles de bains, des cuisines et de l’usage des « bi pass » des stations de traitement ? (Lire Le Télégramme 5 juillet et Lire Le Télégramme du 10 juillet)
Si les ruisseaux côtiers étaient la cause, les algues vertes privilégieraient leur proximité or c’est au large que Sylvain Ballu les a mesurées.
Depuis plusieurs dizaine d’années certaines plages subissent des échouages d’algues. C’est connu, les anciens le confirment.
De là à faire des agriculteurs et des éleveurs des boucs émissaires c’est le moyen le plus sûr de ne pas vouloir résoudre le problème.
Désolé pour ceux pour qui c’est un fonds de commerce et qui en vivent grassement. P.R.
