Le MPB : un lieu de transparence et de libre concurrence

La confrontation de l’offre et de la demande sur un même site en toute transparence, dans le respect de la libre concurrence, est un milieu gagnant ou les acheteurs profitent du regroupement de l’offre (lire l’article – Paysan Breton). Les criées des ports de pêche (lire l’article – Paysan Breton) ou les fleurs de Hollande le pratiquent largement (lire l’article – Paysan Breton).

C’est à l’opposé des 73 cahiers des charges bretons dont la finalité n’est pas la qualité (lire article – Paysan Breton) mais l’intégration des producteurs.

Le 15 juin lors des 50 ans du MPB, tous les acteurs de la filière porcine se disent « attachés et soutenir le MPB » (Voir photo – Paysan Breton) mais certaines structures ont besoin de tomber le masque  (lire l’article – Paysan Breton).

Pour le patron d’Aoste, « il amène de la sérénité » (lire l’article – Paysan Breton).

Pour F. Pot, président du MPB, « C’est le seul lieu de transparence des échanges » (lire l’article – Paysan Breton).

Ces derniers mois, le MPB a conduit, sans manifestation ni blocage, la cotation à pratiquement 2€ / Kg, preuve de sa force et sa respectabilité.

A moins de vouloir une fixation de prix comme en lait, ou un directeur fait décider par son conseil d’administration une baisse de prix qu’il aurait déjà répercuté à la vente ou perd toutes ses chances de l’imposer aux GMS (lire l’article – Sodiaal). Lactalis de son côté répercute la hausse (lire l’ article – Eleveur Laitier).

Le MPB nous protège de cette dérive et c’est un choix politique que doivent faire les structures.

Soit elles privilégient les contrats et l’intégration des producteurs qui va avec, soit elles font le choix MPB / UNIPORC et des producteurs libres et mieux rémunérés.

P. R.

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