- Le harcèlement
C’est devenu une banalité de dénigrer l’élevage porcin. Top Chef, le 11 mai, sous prétexte de plat « choc », peut user des pires qualificatifs:
- « dénoncer l’élevage intensif des animaux » (lire l’article)
- « Choquer avec du cochon cru dans un crâne » (voir image – capture écran M6)
- « assimiler le cochon aux antibiotiques et maladies »
- « User de médicaments – poisons »
- « Mettre une seringue qui fait comprendre le message »
- « On comprend qu’une injection va se faire »
Ils oublient que le porc « bio » a autant d’antibiotiques que le porc conventionnel (lire l’article « antibiotiques en élevage, la baisse ralenti »)
2 . L’envolée du prix de revient (voir le Télégramme)
Comment les Coops voient l’avenir de l’élevage avec des céréales à ces prix (voir les cotations)
3 . La désillusion
La tromperie du paiement au prix de revient et de la loi Egalim 2 (voir l’éditoriale du paysan breton)
4 . Le bazar entretenu au profit de quelques uns, les normes, le mâle entier…
5 . La seule réponse:
Au-delà de l’A.O.P, un front commun de la filière porcine bretonne par delà des récalcitrants.
P. R.