Il y a la réalité, pas forcément agréable mais qu’il faut affronter de face (Lire Le Paysan Breton)
Il y a les « attentes sociétales », que boude le consommateur (Lire La France Agricole) Seulement 208 000 porcs « bios » sur 23 millions soit 1%.
Il y a la « montée en gamme « reprise en coeur par nos organisations mais dont le coût et le risque restent aux producteurs pour un marché de « niches »
Il y a le « porc conventionnel » de très haute qualité dont l’écart de qualité avec le haut de gamme se réduit souvent à l’emballage. Il est la production de 90% des producteurs passionnés et qualifiés.
Les campagnes publicitaires affichent des prix alimentaires anormalement bas.
C’est le vrai chantier de l’AOP qui doit regarder la vérité en face.
P.R.