L’enfer pavé de bonnes intentions

Lire ici Le Paysan Breton 

A écouter nos responsables professionnels et politiques, grâce à la loi Egalim2, les éleveurs seraient rémunérés au prix de revient alors qu’ils savent que même avec un contrat , c’est impossible.

Les raisons sont simples :

  • Sans protection aux frontières françaises nos prix plus élevés conduit à une augmentation des importations. (Lire ici)
  • Le Gouvernement « en même temps » confie le maintien du pouvoir d’achat aux GMS (Lire ici) qui affichent dans les médias leur soutien aux éleveurs face aux citoyens et des prix toujours plus bas au consommateur. (Voir ici)
  • La concurrence commerciale à coup de cahiers des charges entre les groupements tire les prix vers le bas et finira par conduire l’AOP à l’échec.
  • Trop de nos responsables  se sont privilégiés avec des labels dont ils connaissaient les limites :

Le lait « bio » moins cher que le conventionnel (Lire ici) ou sacrifier l’adhérent pour sauver la coopérative. (lire ici)

Par contre Egalim 2 permet par la loi de s’organiser en AOP et dépasser la concurrence commerciale entre groupement et prendre les 0,50 E/kg  que les GMS se disent prêtes à payer (Lire ici)

Les ambitions personnelles de quelques responsables sont d’une autre époque et détournent du vrai débat pendant que d’autres avancent leurs pions. (Lire ici)

L’organisation verticale est une étape et une erreur (Lire ici l’éleveur laitier)

Les producteurs veulent une organisation transversale 

Il ne faut plus d’autre Gauthier « Pour que son nom ne s’éteigne pas, mais soit le moteur d’une organisation collective » (Voir ici)

P.R.

 

 

 

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