Les agriculteurs veulent revenir aux racines du syndicalisme

-Les élections des chambres d’agriculture ont confirmé une crise de confiance dans le tandem FNSEA/JA et les grosses coopératives (voir article).
-Le développement des coops à l’international (voir article) s’est fait au détriment des producteurs français à qui on impose une surtransposition des normes.
Les coopératives arrivent même à en rajouter (voir article) indifféremment du plan social de l’agriculture (voir article).
-Soutiendront-elles la loi votée par les sénateurs pour lever les contraintes liées à l’exercice du métier ? (voir article)
-Lors de sa conférence de presse, Sébastien Windsor, président de l’APCA, est plus soucieux de la présence des coopératives dans les conseils d’administration des chambres que du revenu des agriculteurs (voir article).
-Il appartient aux syndicalistes FDSEA et CR qui sont plutôt en phase de faire entendre la voix des agriculteurs.
-Dans son éditorial, J.A. Divanac’h, aujourd’hui président de la chambre d’agriculture 29, est on ne peut plus clair : « les divisions du monde agricole qui menacent les outils collectifs comme le marché du porc sont une véritable aberration … » (voir article).
-La CR Véronique Le Floch dénonce « un agricide sournois » et réclame « des prix pas des primes » (voir article).
-Il y a deux ans, Thierry Meyer, président d’Inaporc, soutenait un manifeste « pour la sauvegarde de l’élevage en France » par 9 leviers (voir article). Où en est-il ?

Nos divisions et les petits calculs de certaines coopératives font le terreau de ceux qui culpabilisent les éleveurs.

J.A. Divanac’h le redit « les associations environnementales ont construit leur business sur un toujours plus qui se transforme en jamais assez » (voir article).

Espérons que les responsables d’Inaporc sont conscients que des communiqués de presse ne seront pas suffisants (voir article) face aux millions d’euros des ONG (voir article).

P.R.

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