Les éleveurs de porcs crucifiés par leurs Coops

Avec une tablette c’est facile de récolter du maïs et de faire les semis d’automne.

C’est également facile de conduire un élevage de porcs au chaud dans des bureaux à Rennes ou à Paris.

La réalité du terrain est tout autre, les moissonneuses embourbées ne se comptent plus (voir ci dessous) surchargeant de travail des éleveurs déjà débordés dans leurs élevages.

 

C’est facile de faire des vidéos choquantes largement relayées par les médias (Lire Ici le Télégramme ) mais qu’à chaque fois, l’éleveur soit laissé seul face à la meute par ses organisations   est insupportable.

L’agriculture est la seule profession qui s’autoflagelle.

Certaines sont même intouchables ainsi lorsqu’un avocat évoque les greffiers français il doit s’en excuser (Lire Le Télégramme)

Les pires des voyous bénéficient de circonstances atténuantes et d’avocats.

Les éleveurs et les producteurs se font « crucifier » dans l’indifférence de tous et même de leurs organisations (lire ici) dont la priorité est la fusion (Lire ici) ou préserver le chiffre d’affaire (Voir ici)

Ce n’est pas en condamnant les éleveurs qu’ « ils » donneront envie aux jeunes de s’installer. (Lire La France Agricole)

P.R.

Derniers articles de cette catégorie