Lire ICI l’éditorial de Guy Laluc dans son mensuel ARGOS (janvier 2016)
Le blocage de l’élevage le 1 janvier 1994 a contribué au renforcement des pouvoirs de ces deux organisations et leurs mainmises sur les éleveurs .
La complexité des normes sont un fond de commerce pour elles et tant pis si le prix de revient des éleveurs en pâtit.
- La multiplication des cahiers des charges
- Le bien être des truies qui vont aujourd’hui à l’abattoir
- L’environnement, les phytos, les antibiotiques…leurs permettent des marges
Et ce sont les chambres d’agriculture qui :
- ont signé le plafond d’N organique à 170 unités
- cautionné le blocage de l’élevage pendant 10 ans contrairement aux autres pays européens
- dernièrement validé les normes mortelles pour les agriculteurs dans les bassins versants sous couvert d’algues vertes dont nous ne sommes pas responsables.
Aujourd’hui encore elles ont bien timides pour imposer la traçabilité, la globalisation de l’offre et la qualité.
Il n’y aura pas d’organisations riches avec des éleveurs ruinés.