Nos élites : des seconds couteaux

C’est toute l’économie qui est explosive, pas que les négociations commerciales (voir article).

Nos élites européennes.

Au nom de la concurrence, elles ont ouvert nos marchés à tous. C’est une opportunité pour les 50 000 lobbyistes (voir article) qui ont plus de poids que les citoyens (voir article).

Nos élites parisiennes.

Des notables qui, en 20 ans, ont détruit ce que la France avait de meilleur au monde, que ce soit les hôpitaux, les écoles, la sécurité,  notre industrie, notre agriculture … tous sont à la peine.

Ceux qui ont multiplié par 6 le prix de l’électricité n’ont pas anticipé les conséquences. Au bénéfice de qui ?

Les cafouillages du 100 % renouvelable et l’arrêt des centrales nucléaires ne sont pas le fait du hasard mais du choix politique d’Elisabeth Borne (voir article), choix qu’elle renie quelques mois plus tard (voir article).

Et, pour les juges, un jour c’est pile, un jour c’est face (voir article).

Nos élites professionnelles.

Par abstention, complices de la pensée unique « bio écolo » (voir article), dont le seul argument est de combattre le conventionnel (voir ici vidéo), silencieuse face à la désinformation destructive (voir article), les producteurs sont seuls face aux ONG (voir article). Personne ne s’inquiète de la crise alimentaire qui touche déjà les anglais (voir article).

Les producteurs.

Le seuil d’acceptation sociale est dépassé (voir article). Les espoirs mis dans l’AOP aboutiront-ils ?

Il ne suffira pas d’exiger que le prix du porc au MPB soit à plus de 2 euros mais il faudra réfléchir à ce qu’on fera pour qu’il le soit (voir article).

Le MPB/UNIPORC, toute la filière s’en réfère. Confortons-les.

P.R.

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