Pas sûr que les défis des éleveurs soient les mêmes que ceux du congrès de la FNSEA (Lire Terra)
1er défi de la FNSEA
« Refusons la fatalité du déclin »
L’exprimer c’est déjà l’accepter alors qu’il faut être positif et affirmatif du projet futur.
2ème défi
« Réformer les retraites »
Est-ce un club de préretraités ?
Faut-il aller jusqu’à la repentance ? (Lire La France Agricole)
On aurait crevé de faim si on avait fait du bio (Lire La France Agricole)
3ème défi
« Relever celui de transition écologique »
Tous les éleveurs sont engagés pour la faire et n’ont pas attendu la FNSEA
PORELIA et tous les groupements s’y investissent depuis 30 ans.
- La première priorité des éleveurs :
La première priorité des éleveurs pour payer les normes est le prix (Lire La France Agricole) mais la FNSEA n’a pas l’air de comprendre que nous sommes dans la même configuration économique que les producteurs de masques (Lire Ouest France)
Lorsque la FNSEA laisse espérer un prix rémunérateur avec la loi EGALIM ou la contractualisation, elle ment aux éleveurs tant que les frontières seront ouvertes aux moins disant sans réciprocité des normes.
La FNSEA préfère ne pas froisser quelques coopératives industrielles et elle est trop discrète pour soutenir des organisations de producteurs comme l’AOP, UNIPORC et le MPB nationalement et mondialement reconnus.
- La seconde priorité des éleveurs :
Le Président de la FDSEA 29 fait une analyse lucide qui mériterait d’être portée par la FNSEA.
La main d’œuvre variable d’ajustement (Lire Terra) ou 2 500 offres d’emplois (Lire Le Télégramme)
Le summum est qu’une école d’agriculture doivent être à la recherche de porchers (Lire ici)
Oui la FNSEA et les Chambres d’Agriculture doivent changer leur logiciel.
P.R.