Le même vécu chez les marins : la volonté de certains à vouloir garder leur suprématie à tout prix (lire ici article du Télégramme).
Veut-on la souveraineté alimentaire ?
Pas tant que nos coopératives continueront à privilégier des niches qui deviennent un enfer pour le producteur. Le lait « bio » s’enfonce dans la crise (lire ici article Les Marchés Mag) et une année noire pour le porc « bio » (lire ici article Les Marchés Mag).
Le consommateur ne s’y trompe pas et il se tourne de plus en plus vers le conventionnel qui se différencie peu du « bio ».
Si nous voulons la souveraineté alimentaire il faut que les coopératives et le syndicalisme sortent de leur indifférence envers la production porcine conventionnelle de qualité et soutiennent l’AOP, sauf à vouloir préférer les produits d’importation.
Nos coopératives et les syndicalistes sont tellement paralysés face à la banalisation des attaques (ex émission Top Chef de M6 du 11 mai 2022) qu’ils ne réagissent plus.
On apprécie d’autant plus la réaction de Thierry Meyer, président d’INAPORC, qui reprend nos arguments (lire ici courrier Inaporc).
P.R.
