Ce n’est pas un mouvement d’humeur (voir lien suivant : Agriculture. Les tracteurs sur les routes cette semaine. « On n’installe pas des jeunes pour leur mettre un couteau sous la gorge » (francetvinfo.fr)).
A force de dénigrement et de réglementations, nos élites détruisent l’élevage (voir article).
Comment installer des jeunes quand les écolos attaquent tous les dossiers ?
Dans quel but l’Etat interdit ce qui se vend et subventionne ce qui ne se vend pas ? (voir article).
Le GAFAM finançant les ONG et le L214 qui détruisent les exploitations familiales françaises pour imposer leurs viandes artificielles (voir article) (voir article).
Les GMS qui pèsent sur le prix des produits alimentaires ne sont pas à une incohérence près (voir article).
L’enjeu est politique.
Les agriculteurs des Pays-Bas sont suivis par les consommateurs (voir article), les Italiens interdisent la viande de laboratoire (voir article) (voir article).
Pour Natacha Polony, le cochon fait partie de la culture française et est la viande la moins chère (voir lien suivant :N’abandonnons pas le cochon à l’extrême droite – Editos – Marianne TV ).
En France, certains élus politiques des départements et de la région Bretagne ne défendent pas notre souveraineté alimentaire française en ne s’engageant pas sur les dossiers des éleveurs.
L’enjeu est économique.
Mettre les panneaux à l’envers est une bonne manière de sensibiliser les consommateurs.
S’allier et participer collectivement pour avoir le meilleur prix, c’est mieux.
Les GMS poursuivent leurs alliances (voir article).
Comment un producteur ou un groupement, même avec des dizaines de milliers de porcs par semaine livrés en « direct » puisse espérer un juste prix face à ces centrales d’achat ?
Mettre et vendre ses porcs au MPB/Uniporc est bon pour le portefeuille des producteurs.
Si les GAFAM disposent de gros moyens financiers, les éleveurs ont le soutien des consommateurs.
P.R.
