Pourtant avec des élus écolos, elle ne s’attendait pas à cette fin de vie (voir article).
Il ne suffit pas d’avoir des moutons dans les prés, il faut également les soigner (voir article).
Qui peut croire que les éleveurs ne font pas le maximum pour l’environnement après 30 ans de normes, de contrôles et de mises au pilori par les médias ?
Qui peut croire que les éleveurs négligent le bien-être alors que plus le cochon est heureux, mieux est sa croissance ?
Que des groupes de personnes ne soient pas d’accord, c’est leur droit mais qu’ils l’imposent par la force et la violence, on n’est plus en démocratie.
Quel sens donner aux commentaires et à l’attaque d’une coopérative (voir article), de vider un train de blé (voir article), de terroriser des éleveurs par des intrusions nocturnes et jusqu’à menacer un député (voir article) ?
Les éleveurs bretons ont-ils encore le soutien de leurs organisations nationales ? On peut en douter !
Nos organisations bretonnes sont-elles capables de dépasser leurs différences pour reconquérir l’acceptabilité sociétale des éleveurs et de faire le meilleur prix aux producteurs ?
Alexis Gourvenec et Sébastien Coupé, pourtant opposés avec d’autres choix, ont su le faire contre les montants compensatoires et pour le MPB (voir article).
P.R.
