La signature de l’accord avec le Mercosur est dans l’objectif du traité de Maastricht en vigueur depuis le 1er novembre 1993 (voir article).
Les bénéficiaires de ce traité ont pu compter sur le soutien de nos élites, du double langage des politiques, jusqu’à nos directeurs de grosses coopératives qui y ont trouvé des opportunités commerciales pour se justifier. C’est une raison de leurs intérêts pour la loi Egalim pour son ambiguïté.
Les écarts du double langage, Alexandre Bompard, PDG de « Carrefour » en a fait les frais en moins de 48 heures. À la suite du boycott de ses magasins au Brésil, il est contraint de faire ses plates excuses au ministre de l’Agriculture du Brésil (voir article).
Double langage de beaucoup de politiques qui ont validé tous les précédents accords de libre-échange.
Double langage de beaucoup de politiques pour qui « il ne faut pas sacrifier notre agriculture (voir article) après nous avoir sur-transposé les normes européennes doublées d’une bureaucratie française prolifique et ouvert nos frontières ».
Au moment où A. Von Der Leyen ouvre large les frontières de l’Europe, D. Trump ferme celles des USA.
Les agriculteurs et éleveurs français paieront cela au prix fort. Il faut tout remettre à plat tel que dit Sam dans sa vidéo (voir vidéo).
Nous ne pouvons compter que sur nous même !
P.R.