On ne peut que souscrire à l’intervention de Jean-Bernard SOLLIEC à la cession du CESER Bretagne du 31/03/2015. Ce que l’on peut regretter, c’est qu’il n’est pas affirmé ces vérités il y a 15 ans lorsqu’il dirigeait de 1998 à 2012 la puissante coopérative « coopagri ». L’argumentaire des éleveurs aurait alors été entendu et le dossier de l’environnement pris dans sa globalité. Mais comme d’autres directeurs de coopératives aujourd’hui, il craignait de porter préjudice à son entreprise, l’agriculture écologiquement intensive étant sacrilège.
Mais mieux vaut tard que jamais et si tous les directeurs actuels de nos coopératives ou structures exprimaient aussi clairement non pas leur point de vue mais la vérité sur la réalité de la protection de la nature par les éleveurs, cela calmerait les caprices des bobos.
Les éleveurs acceptent de se battre mais beaucoup sont fatigués. Il y a urgence. PR