Il ne faudrait pas que sous la pression des réseaux sociaux (lire ici article du Télégramme 30/08) et la soif des subventions, l’AOP privilégie les cahiers des charges et laisse au second plan la mise en commun du commerce et de la qualité des groupements.
Le bien être des éleveurs doit être notre priorité
Pour le reste c’est déjà aller trop loin.
Ainsi ceux qui préconisent la cage maternité truies en liberté n’ont pas intégré les risques physiques pour l’éleveur.
P.R.