Mais la « loi du silence » masque leur part de responsabilité sur la prolifération des algues vertes dans la baie de Saint-Brieuc et ailleurs (voir article).
Prudent « Ouest France » ne met en avant que le blocage des constructions du fait des disfonctionnements des stations d’épuration pas trop réglementaires (voir article).
–L’échantillon de l’agglo de Saint-Brieuc (voir article) est représentatif du reste de la Bretagne.
–Les eaux de pluie font tout déborder (voir article).
–Des maisons mal raccordées « il y en a beaucoup » (voir article).
Tout ça va à la mer et produit des algues vertes (voir article) dont la charge médiatique est totalement portée par les agriculteurs. Comment sinon supprimer notre modèle agricole familial, productif, de qualité, pour installer une agriculture de « loisir » (voir article) ? A quel prix les légumes ?
Connaissant le disfonctionnement des stations urbaines qui rejettent leurs effluents directement dans les rivières, nos organisations, et les chambres d’agriculture en particulier (voir lien article Ouest-France), qui capitulent (voir article) espérant émarger aux 130 M€ (voir article) sont coupables du découragement des éleveurs qui gèrent les déjections par l’épandage sur leurs cultures.
La multiplication des normes, sans être suivie par le prix, ne laisse aucune chance aux producteurs français.
En France, de plus en plus de mots sont interdits, le mot « FAIM », au contraire, fera la « une » des mois à venir (voir article).
P.R.
