Faire croire aux éleveurs que de se convertir aux labels rouges, au bio ou à la vente directe serait une garantie de revenu c’est leur mentir et les conduire dans des impasses. (Lire ici Le Paysan Breton)
Toutes les valeurs ajoutées de ces démarches qualités sont confisquées par l’aval. ( Lire ici le Télégramme)
Il faut sortir de la « pensée unique » qui sort du « bio » à toutes les publicités pour le caprice de moins de 10% des consommateurs.
Nous produisons pour les autres, 90% de consommateurs, de la viande d’une qualité sanitaire et gustative largement équivalent et à un prix compatible avec leurs salaires. Imposer la qualité traçabilité « Viande Française » devrait être la priorité du ministre de l’agriculture et de Nicolas Hulot s’ils veulent protéger le consommateur et l’éleveur.
P.R.
Crédit photo : Le Télégramme