Un moyen plus qu’un objectif

Les initiatives réglementaires et judiciaires sont la façon la plus vendable pour culpabiliser les éleveurs.

L’UGPVB, dans une note d’analyse globale, constate que derrière le bien-être animal se cachent d’autres objectifs moins avouables (lire ici la note UGPVB).

Les médias sans retenue soufflent sur l’incendie profitant de la sortie du film  » Les Algues vertes » (lire l’article Le Télégramme), se gardant bien d’y associer les rejets des stations urbaines.

Les dés sont pipés. Les éleveurs devront réduire leur production de CO2 mais on ne touchera pas au charbon (lire l’article), sans parler de l’eau ou de  l’air.

Les ONG ont une efficacité politique relayée par l’Europe.

Ne pas avoir une approche globale avec une vision politique de la part de nos organisations serait trahir les éleveurs.

Nous avons l’arme « alimentaire » contre le « dénigrement ».
Porelia soutient l’initiative d’Inaporc de « réagir au dénigrement général » (lire l’article La France Agricole)

Et il n’y a pas d’autres voies.

P.R

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