L’embellie des cours doit être mise à profit pour une vraie organisation de notre filière bretonne. De nouveaux producteurs de porcs surgissent. Aujourd’hui l’Espagne, demain la Russie. (Lire Ici)
Avec une mondialisation du commerce ou le meilleur côtoie le pire, notre production bretonne doit se positionner près des consommateurs pour une identification obligatoire.
La traçabilité n’est pas négociable, c’est la première priorité.
La seconde priorité est l’ouverture de toutes les démarche qualités à tous les éleveurs et disponibles à tous les industriels.
Pour le consommateur un Label Rouge est un Label Rouge, peu importe l’industriel qui le propose, élargissons cette logique aux producteurs. Ne reproduisons pas l’exemple laitier (Lire ICI)
C’est d’autant plus impératif qu’un autre danger nous guette : Une certaine intelligentsia qui veut imposer le végétarisme. (Editorial France Agricole). Qu’on le veuille ou pas notre filière porcine sera libérale ou disparaîtra. Il n’y a pas de place pour les rêves, les évènements depuis deux ans le prouvent.
Construisons un cadre général ou éleveurs et abatteurs pourront exprimer et valoriser leurs compétences. P.R.