Pourquoi vouloir » s’affranchir du marché au cadran de Plérin » (Lire Ici Le Télégramme) et par voie de conséquence d’Uniporc, les deux organisations clef de voute de la filière porcine bretonne ?
Comment interpréter autrement les propos de l’ancien Président de Chambre d’Agriculture qui projette une grande carrière politique depuis qu’il est le « monsieur agricole » du Président de la République et qu’il partage l’analyse de Super U dont en bon communicant on doute de la sincérité comme celle d’Intermarché (Référence La France Agricole) ou autre GMS.
L’ensemble de la production laitière à 100 % contractualisé et dont le prix se dégrade ou les producteurs de volailles livrant Doux (Le Télégramme du 14 mars) propriété de la Coopérative Terrena elle même en difficulté ( Le Télégramme du 13 mars) seraient-ils les modèles à suivre ?
De part son parcours professionnel et politique les éleveurs sont en droit d’attendre d’Olivier Allain qu’il se batte au moins pour imposer la traçabilité des produits français qui ont toujours la confiance des consommateurs.
Le CRP a également réagit clairement (Lire ici son communiqué)
P.R.
