C’était les états généraux de l’alimentation. On voulait nous faire croire que c’était des attentes sociétales alors que le dialogue est impossible (Lire La France Agricole)
La violence de leur manifestation va crescendo (Lire Le Télégramme)
Depuis des années les interprofessions auraient dû contenir cette dérive. Ce n’est pas faute de budget.
P.R.