« L ‘humain qui verse des larmes de crocodile est un consommateur sauvage » Lire Le Télégramme
Beaucoup de citadins votent vert depuis leurs cocons de bitume et se feraient brûler et rôtir au nom de la planète pour l’environnement et le droit des animaux.
Faut pas qu’ils s’étonnent que dans la campagne, ils n’ont pas bonne presse (Lire Le Point)
P.R.