A chaque élection, de hauts responsables professionnels en mal de promotion et de revenus garantis se reconvertissent en politique de droite comme de gauche désertant leurs missions pour un résultat incertain (Qui se souvient de Luc Guyau, Président de la chambre nationale d’agriculture ou que fait Christian Jacob ancien président du CNJA ?)
Aujourd’hui Olivier ALAIN (lire ici le Télégramme) choisit le confort et la respectabilité. Pendant ce temps Thierry MERRET (Lire ici dans Terra) s’arc boute sur les problèmes de fonds que nous devons solutionner ou sinon disparaître.
Nos responsables agricoles ont le devoir de voir plus large que le métier de paysan car les mêmes causes produisent les mêmes effets dans les métiers artisanaux ou de la mer.
Même les producteurs d’huitres, produit festif, se trouvent rincer entre les charges et les GMS (lire ici le Télégramme).
Il ne faut pas avoir peur des problèmes surtout si ça dérange. P.R.
