La gouvernance par la peur n’a jamais été la meilleure solution

L’autosuffisance intellectuelle de l’élite parisienne forte de ses prérogatives et productrices de normes au seul fin  que d’assurer son autorité s’arc-boute à se justifier et faire peur (Lire Le Point).

A quoi ça sert l’intelligence artificielle avec des start up pour dire que les Yaourts du frigo sont périmés et qui pendant quatre mois a été incapable d’anticiper la grippe chinoise.

A celui qui traitait les salariés de Gad « d’illettrés » on peut lui retourner toute proportion gardée le compliment.

Avoir trop attendu pour décréter le confinement pour tenter de ménager ses bobos (Voir ici) et sans plan de sortie pour un retour à l’activité économique nous conduit à une crise économique sans précédent.

Plusieurs métiers ne se relèveront pas.

Faire tourner la planche à billets n’empêchera pas les dépôts de bilan à la chaîne jusqu’aux éleveurs.

La France doit se remettre au travail à commencer par les cadres et hauts dirigeants par centaine de mille au télétravail (?)

Les agriculteurs et les éleveurs positifs ou pas au coronavirus  n’ont pas le choix que d’être au travail et ne sont pas des héros. Ils veulent juste être payés de leur travail.

Dans deux entretiens au Figaro PY Gomez donne son analyse de l’entreprise et de la financiarisation de l’économie.

Le premier du 22 novembre 2019 « Le Capitalisme spéculatif est fragile »

Le second entretien le 4 avril 2020 « La France n’est pas une start up »

P.R.

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