Les agriculteurs et les éleveurs sont seuls face à un environnement de plus en plus hostile.
Les ONG, dont L214, fonctionnent de façon professionnelle avec des vidéos choc qu’elles reproduisent à l’infini, crucifiant leurs cibles.
Pas un fabricant d’aliment, pas un éleveur et pas un abattoir ne peut jurer qu’il soit à l’abri car cela fait partie du métier malgré eux.
Mais pour cet ancien Président de Chambre d’Agriculture, candidat sur une liste écologiste (lire ici l’article Le Télégramme), qui dénigre la méthanisation comme pour les 5 Présidents actuels, pour qui « les volumes ne sont pas une finalité » (lire ici l’article Le Télégramme), la Bretagne agricole est-elle celle enseignée dans nos écoles? (Lire ici l’extrait Livre d’Histoire)
Pour les journalistes, nous ne sommes que « sujets ». Pour notre amont et notre aval, fussent-ils coopératifs, nous ne sommes qu’un « marché ».
A quoi servent les articles techniques de nos médias professionnels si c’est pour gagner quelques euros de prix de revient aussitôt confisqués par l’amont et l’aval, sans bénéficier aux consommateurs?
Il faut dialoguer mais pour cela il faut être deux qui ont le même objectif (lire ici l’article Paysan Breton)
La réponse ne s’est pas faite attendre (lire ici l’article Le Télégramme)
L’élevage conventionnel est de très bonne qualité, défendons-le (ref Porelia).
P.R