A chacun son métier mais avec des professionnels compétents pour le plaisir du consommateur. Pourquoi certains, même dans nos organisations voudraient, que l’éleveur fasse trente six métiers.
Michel BOULAIRE (à gauche sur la photo), patron des abattoirs Bernard à Locminé (Lire ICI dans le quotidien Le Télégramme) a mis en valeur une voie de proximité avec les artisans bouchers.
Privilégiant une démarche d’entreprise ouverte plutôt que des gains financiers à tout prix. C’est une autre manière de valoriser la production porcine bretonne qu’il faut entretenir. P.R.
Crédit photo : Le télégramme