Que cherche le président de la Cooperl du haut de son perchoir ? (lire ICI site LE PARISIEN) Après avoir rempli ses frigos de viande de mâles entiers en mal de clients il voudrait transformer le MPB en auberge espagnole. Plutôt que d’être solidaire des autres groupements pour garder le prix le plus élevé possible pour les éleveurs sans lesquels il n’y aura pas d’aval. C’est même une prise d’otage sciemment calculée (voir Ici Le Télégramme).
Les règles du MPB doivent effectivement être améliorées car récemment dans un marché à plus 5 cts de hausse les acheteurs (dont la Cooperl) ont refusé de prendre tous les porcs ce qui est un dysfonctionnement évident. Ce n’est sans doute pas la revendication de la Cooperl. Mais lorsqu’on se prétend être le leader en abattoir et en coopérative on a le devoir de tirer la filière porcine bretonne vers le haut et pas de se chamailler. En a-t-on encore les moyens ? P.R.
Voir interview P DRILLET à l’issue de la rencontre avec Stéphane LE FOLL