Le MPB confirme son objectivité et son autorité

Depuis juillet 2020 le MPB s’impose face à l’effondrement du prix allemand (Voir ici) et plus fort aujourd’hui devant la panique de certains opérateurs français (Lire La France Agricole)

Quel aurait été le prix payé aux producteurs de porcs depuis quelques mois sans le  MPB ? 1 Euros, 1.10 Euros ou 0.90 Euros ?

Quand tout s’emballe il faut calmer le jeu.

Afficher un prix payé de 8cts inférieur au MPB, c’est sans mesurer les conséquences sur les comptes d’exploitations des producteurs. Il ne faut pas se tromper : le prix à payer est collectif.

Quand un industriel coopératif se désolidarise de tous les autres acteurs de la filière porcine française, est-il différent des autres financiers ? (Voir ici)

L’objet des coopératives a évolué, il faut l’admettre, quand le Président de la coopérative s’oppose à la loi Egalim 2 en priorisant la coopérative contre l’adhérent  (Lire La France Agricole)

Mais aussi les coopérateurs entretiennent des croyances  des coopératives beaucoup plus qu’elles ne peuvent en donner (Lire La France Agricole)

Que tous les producteurs, tous les groupements rejoignent l’AOP n’est pas un luxe dans ce monde en folie où l’élite parisienne traite le producteur de 50 truies « d’industriel » et que pas un politique ne risquera sa  » réélection » à défendre les producteurs de porcs. Ex : Didier Guillaume (Arrêté 2020) candidat à la mairie de Biarritz.

Pourquoi refuser de regarder la vérité en face ? (Lire La France Agricole)

Rester spectateur de la commission européenne qui va imposer de nouvelles contraintes sans se préoccuper des conséquences (Lire La France Agricole) est coupable.

En France, nous sommes à 100% d’autosuffisance, son marché doit appartenir aux producteurs locaux français propriétaires de leurs élevages.

En attendant, un front commun politique de nos organisations, Porelia priorise toujours la marge aux 100 kgs de viande.

P.R.

 

 

 

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