Situation no 1
S’il suffisait de flatter les éleveurs avec un ou deux chiffres choisis en cachant l’essentiel pour les rendre heureux, cela se verrait.
Tous les éleveurs sont soucieux de l’environnement et du bien être de leurs animaux et les « cahiers des charges » ne sont que des étiquettes dont la plus value est confisquée par l’aval
Le seul chiffre qui résume les autres c’est la marge aux 100 kgs. A Porelia c’est le chiffre le plus important .
Pourtant nous continuons à jouer au plus fort dans la confidentialité.
C’est à croire que nous voulons subir le sort des producteurs américains pressés jusqu’au dernier dollars (Lire Echo du Québec). Des intégrateurs US de 100 000 truies arrêtent la production laissant les producteurs avec des bâtiments vides (Ref Genesus) (L’intégrateur est propriétaire des animaux)
Faut pas croire qu’en France on soit à l’abri (Ref Cooperl)
Situation no 2
Les rivalités épidermiques d’un côté comme de l’autre conduisent la production tout droit à la situation des USA.
Toute la filière française devrait soutenir la Cooperl avec son amende « politique » qui sera dans tous les cas payée par les éleveurs.
Le collectif, plus on en parle, plus c’est pour les autres.
Nous avons deux outils sous utilisés :
Le MPB qui malgré le nombre de porcs réussit des hausses lorsque l’approvisionnement en direct est à sec et fait le prix voir ici cotation et commentaire de ce jeudi 20 / 08
Et UNIPORC , dont il ne suffira pas de mettre en avant l’entête sans respecter les deux lignes du bas : Le poids et la plus value qui sont son objet
Historique et réalité
Certes depuis 1980 la profession agricole est celle qui a le plus fait de gains de productivité qui ont été confisqué.
Ainsi la baguette de pain qui valait 1 Franc est passé à 1 Euro
Si le porc avait suivi, le KG qui était à 10 Francs serait à 10 Euros.
A ce prix là on le ferait avec sa queue entière (Lire ICI)
P.R.