Didier Le Du dans son édito du 2 février met en lumière notre passivité devant » la multiplication des cahiers des charges qui jette le trouble sur la qualité conventionnelle. « (Lire ici)
Et de faire croire que » l’alimentation n’a pas de prix » (Lire ici) c’est multiplier les cas de salmonelles ou de listeria. Une volonté politique changerait le cours des choses. Elle appartient aux éleveurs.
P.R.